Elles sont partout. Sur les toits, aux pieds des immeubles, dans les talus et les fissures des trottoirs. Dans nos villes très urbanisées, la présence de plantes sauvages semble incongrue, voire souvent indésirable. De mauvaises herbes qu’il faudrait éliminer, arracher, éradiquer, pour faire propre, selon l’obsession de l’homo sapiens citadin du XXIe siècle. Pourtant, nombreuses sont les plantes sauvages qui regorgent de nutriments, de saveurs, et de parfums tropicaux. C’est ce que nous invite à découvrir Thomas Ferrand.