« Alice Renard, journaliste de l’Union »
À l’époque, les parents n’en avaient pas voulu. Vingt-cinq ans plus tard, les écoliers, qui avaient pris la pose, vont pouvoir les récupérer.
D’anciennes photos de classe qui auraient dû être détruites viennent d’être retrouvées. Et comme Mme Lemaître, directrice de l’école Gallieni dans le quartier Orgeval, n’avait pas le cœur à les mettre à la poubelle, elle les a confiées à l’association Creadev qui œuvre depuis sa création à préserver l’histoire de ce quartier du nord de la ville.« Elles datent de 1998 à 2000. C’était l’époque où les photos de classe étaient toutes imprimées, rappelle Khalid Ramali, responsable bénévole. Une partie était vendue, le reste finissait par être jeté. Mais pas cette fois… »« Elles datent de 1998 à 2000. C’était l’époque où les photos de classe étaient toutes imprimées, rappelle Khalid Ramali, responsable bénévole. Une partie était vendue, le reste finissait par être jeté. Mais pas cette fois… »
À l’époque, les parents n’en avaient pas voulu. Vingt-cinq ans plus tard, les écoliers, qui avaient pris la pose, vont pouvoir les récupérer.
D’anciennes photos de classe qui auraient dû être détruites viennent d’être retrouvées. Et comme Mme Lemaître, directrice de l’école Gallieni dans le quartier Orgeval, n’avait pas le cœur à les mettre à la poubelle, elle les a confiées à l’association Creadev qui œuvre depuis sa création à préserver l’histoire de ce quartier du nord de la ville.
« Elles datent de 1998 à 2000. C’était l’époque où les photos de classe étaient toutes imprimées, rappelle Khalid Ramali, responsable bénévole. Une partie était vendue, le reste finissait par être jeté. Mais pas cette fois… »
Souvenirs d’enfance
Si vous avez fréquenté les bancs de cette école à la fin des années 1990 et au début des années 2000, il se peut donc que vous puissiez récupérer votre portrait sur fond bleu ciel, imitation nuage, en petit, moyen, grand formats ou même parfois au milieu d’un calendrier à côté du père Noël. Séquence nostalgie assurée.
Dimanche 17 septembre, une première distribution a eu lieu place Simone-de-Beauvoir à l’occasion de la fête de quartier. « C’était très sympa ce moment de retrouvailles. Certains se sont reconnus, d’autres ont reconnu une cousine ou un voisin. » Il reste une quarantaine de clichés « orphelins ». L’association Creadev les tient à disposition de tous les anciens élèves.